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Lisbonne: carte postale sans cliché. Editions 19deabril

Carte postale, ce petit souvenir qu’on aime rapporter de son voyage, ou bien envoyer à son entourage resté au pays.  Aux Éditions 19deabril la passion des cartes postales a débuté en 1991.

Quelques cartes postales en noir et blanc, mettant en valeur les photographes Portugais ou non : João martins et son bateau de Nazaré ; Amalia dans le film « fado corrido » ; Domingos Alvão et sa vision de Porto ; Orlando Baptista et son « dormeur de Lisboa »…

Neuf cartes postales  pour commencer, des centaines aujourd’hui où le Portugal s’épanouit dans la variété de ses couleurs du nord au sud.

La passion « preto no branco », noir sur blanc, jamais démentie de  Jean-françois David, Lisboète de cœur, qui l’a peu à peu conduit à développer les objets souvenirs, originaux et de qualité, qui évoquent la merveilleuse capitale Portugaise, mais aussi beaucoup de villes et de régions, au nord et en Algarve.

Magnets, marques-pages ornés, carnets de notes, crayons, albums à colorier, bijoux et savonnettes…. sont venus compléter la gamme des objets souvenirs. Toujours sous le signe des volutes, dessins, motifs et couleurs de Lisbonne, ou d’ailleurs.

Et si, bien sûr, les « electricos » font un tabac, tout comme les azulejos et le fado, on aime aussi les ruelles étroites, les chats aux fenêtres, le linge aux balcons

Les cartes postales évoluent…sans vraiment changer. Tout comme pour le disque vinyle, leur mort fut annoncée un peu prématurément, dans la réalité elles ont toujours autant de succès.

A l’ère du virtuel, les cartes postales ont de l’avenir, et entre format panoramique et format polaroid, chez 19deabril on innove sans arrêt.

La société d’éditions 19deabril c’est aujourd’hui neuf personnes à temps complet.

Avec, toujours chevillée au corps et à l’âme, la passion photo.

produits, points de vente et informations complémentaires sur le site

https://edicoes19deabril.com

photo de une: une édition spéciale pour soutenir les boutiques historiques de Lisbonne (voir boutiques historiques). crédit photo: nuno perestrelo et artur lourenço

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