plage de nazaré

S’enfoncer un peu au cœur du Portugal, quitter les grands axes, flâner entre les collines,  visiter des villages, découvrir des paysages et des communautés : le centre du Portugal est une invitation.

Il regorge de trésors, certains connus d’autres moins. Pour les découvrir, il convient de musarder, et de faire confiance à des grognements familiers, ceux de votre estomac, pour s’accorder des haltes aussi gourmandes et chaleureuses que l’on peut souhaiter.

Ici à Lisbonne-affinités on vous recommande des moments  culinaires et gastronomiques  qui sont gage de qualité et d’originalité.

Nous proposons un voyage en trois étapes, organisé par l’agence de voyage Simply B qui adapte le circuit en fonction des besoins.

http://www.simplyb.pt/

https://www.facebook.com/simplyb.pt/

Première étape : région littorale, Óbidos et Nazaré.

Voyage au centre (I) démarre…à Lisbonne. Tout simplement parce que partir à la découverte du centre littoral depuis la capitale est très facile : une centaine de kilomètres par l’autoroute pour se retrouver dépaysés.

Tout d’abord Óbidos, et ses remparts crénelés, ses quelques ruelles et ses maisons blanches. La ville médiévale figure en bonne place dans tous les guides, et il est difficile d’échapper aux flots de touristes.  Cependant, on peut aborder la cité de manière originale : s’intéresser aux livres. En effet, la jolie ville médiévale se spécialise dans la culture . Elle est même élevée au rang de cité littéraire par l’Unesco. Avec comme événement principal son festival littéraire, simplement nommé FOLIO (Annuel en octobre)

A Óbidos le feuilletage de livres est fortement recommandé.  Tout d’abord, dans l’église Santiago, reconvertie en librairie. Simple à trouver : elle se trouve au bout de la rue Direita (droite), la rue principale, qui traverse comme son nom l’indique, Óbidos de part en part.  La libraire a  gardé son décor original, autel compris, y ajoutant des éléments de confort. Qu’on se rassure, les livres ne sont pas exclusivement religieux.  Au premier étage de la librairie Santiago, à ne pas manquer, l’association des artisans locaux, et le remarquable travail de dentelles.

En sortant de cette église transformée et en revenant sur ses pas, il faut se rendre dans l’ancien marché de la ville- lui aussi situé rue Direita- transformé également en librairie. Les caisses des légumes et fruits d’autrefois servent d’étagères et la librairie a beaucoup d’allure.

Et s’il y a quelque chose qui va bien avec un bon livre, c’est un verre de liqueur de ginja. Spécialité d’Óbidos. Dans la réalité, il est vrai que si la ginja, la petite cerise acide, est bien cultivée dans la région, elle l’est surtout pour servir Lisbonne où la boisson était et est toujours très appréciée, à l’origine pour ses vertus thérapeutiques. La cité médiévale s’est mise à en proposer, c’est de bonne guerre.

On peut déguster la liqueur dans une coupelle de chocolat. Cependant cette manière de faire est une pure invention marketing récente et qui a ses adeptes. Les puristes boive la ginja telle quelle, avec ou sans « elles », c’est à dire avec ou sans cerises.

[masterslider id= »69″]

Non loin d’Óbidos, la ville côtière de Nazaré.

Autrefois célèbre pour sa pêche artisanale, ses pêcheurs au bonnet tombant et ses femmes aux sept jupons, Nazaré est aujourd’hui un spot très couru par les surfeurs amateurs de vagues géantes. On y vient en effet du monde entier pour chevaucher les tubes créer par ce que l’on appelle le Canyon de Nazaré, une faille de plus de 5  kilomètres de profondeur sur 170 kilomètres de large. Lorsque certaines conditions sont réunies, notamment lors de grandes marées, il s’y forme des vagues géantes pouvant atteindre 15 ou 20 mètres. Une bonne expérience que d’embarquer à bord d’un dinghy pour une sortie au niveau du phare, sur le rocher du Fort de Saint Michel Archange, qui domine la plage nord, là où les rouleaux viennent s’écraser. On peut obtenir des détails sur le canyon et sur les vagues géantes en écoutant les guides de la Cie Waterfun (port de Nazaré). Ils sont associés au dispositif d’accomapgnement des surfeurs , et de leur sauvetage en cas de chute. De vrais experts qui ne vous emmèneront au pied du phare que par temps calme.

facebook: https://www.facebook.com/nazarewaterfun/

 

Après un petit frisson- simplement en imaginant les monstrueuses vagues-  une halte  gastronomique s’impose. A la Taberna d’Adélia où les poissons servis à table sont pêchés dans l’océan qui gronde non loin du restaurant typique. Il faut goûter impérativement aux « Carapaus Enjoados », ce qui veut dire « chinchards nauséeux », des poissons séchés et fumés légèrement. Une tradition ancienne qui se maintient, et l’on peut voir encore quelques séchoirs à l’air libre sur le front de mer. Autre spécialité, le « arroz de Tamboril », riz à la lotte, absolument délicieux chez Adélia, où les morceaux de poissons sont copieux.

www.tabernadadelia.pt

tel + 351 262 552 134

Après avoir admiré les barques typiques des pêcheurs de Nazaré sur le sable, il faut se rendre au « Sitio de Nazaré »  qui surplombe la ville. De la falaise la vue porte sur totu le croissant de la plage de Nazaré en contrebas. Dans le sanctuaire de Notre-Dame de Nazaré, on raconte  l’histoire du miracle qui a permis á l’alacaide- le maire- d’échapper á la mort en étant précipité dans le vide en 1182. Il fut dit-on sauvé par l’intervention de la Vierge Marie qu’il invoquât. A noter dans l’église du sanctuaire une vierge noire nourrissant l’enfant jésus, sculpture sur bois ramenée de Mérida en 711.

Quant aux sept jupons des femmes de Nazaré, eux ne sont pas une légende.(photo)

[masterslider id= »71″]

 

Suggestion pour une halte dans la région.

Hôtel Dolce Campo Real

Rua do Campo

Torres Vedras, Portugal 2565-770  tél + (351) 261 960 900

https://www.dolcecamporeal.com/
L’Hôtel est situé dans un resort /terrain de golf. Chambres de bonne tenue.

Restaurant : Grande Escolha, chef Rui Fernandes. Une carte adaptée, basée sur la qualité des produits régionaux. Bonne référence aussi pour les repas d’entreprises.( Torres Vedras est situé à 50 km de Lisbonne par l’autoroute A8)

[masterslider id= »72″]

croquer 100 plats á lisbonne e-book en anglais.

Croquer à pleine dents 100 plats à Lisbonne….c’est ce que propose le e-livre de Zara Quiroga, « Lisbon in 100 bites ». Plutôt que de  soumettre au lecteur une énième liste de restaurants à connaitre absolument dans la capitale, Zara a opté pour présenter les plats typiques que l’on peut déguster, et où on peut les rencontrer.

La rubrique « petiscos », c’est à dire le grignotage, les petits encas, le dépannage… cite 30 références, rien que ça. C’est un des vrais plus de « Lisbon in 100 bites », « croquer à pleine dents »

Le e-livre présente les « petiscos » comme des tapas, mais  dans la réalité, ni les plats ni la manière de les déguster ressemblent aux grignotages du pays voisin.  A Lisbonne comme dans le reste du Portugal, on préfère et de beaucoup, s’asseoir à table et commander un plat copieux et parfumé, que l’on déguste de préférence en compagnie, quitte à prolonger le déjeuner et le dîner.

Toutefois et surtout en ville, le « snack », le « sur-le-pouce », l’encas et la (anti) petite faim se développent. L’occasion de découvrir des spécialités portugaises : les palourdes à la bolhão pato, le chouriço grillé, les gésiers de volaille….

Lisbon in 100 bites ou croquer à pleine dents 100 fois à Lisbonne vous invite de belle manière à connaitre les petits et grands plats de Lisbonne- et d’une grande partie du Portugal.

Zara Quiroga l’auteure du e-livre a crée avec son mari un blog de voyages et de cuisine, Backpackme, qui se taille un franc succès. La curiosité du couple,  leur gourmandise, alliées à un vrai sens de la communication rendent les choses appétissantes.

Un livre uniquement en anglais- hélas, mais  joliment illustré.

« Croquer à pleine dents 100 plats à Lisbonne » ou Lisbon in 100 bites  est disponible on line pour 9,99 euros. Format PDF.

http://www.lisbonfoodguide.com/

https://gum.co/lisbon100

https://bkpk.me/

 

 

 

1er de l'an à Lisbonne

2018 les Fêtes de fin d’année à Lisbonne

Les fêtes de fin d’année à  Lisbonne s’annoncent belles et généreuses. Quelques suggestions pour profiter de « l’esprit de noël » en famille ou entre amis, et bien entrer en 2018

D’abord pour les petits et les moins petits, l’histoire de noël, qui cette année a quitté le Terreiro do Paço pour aller se poser sur la Fontaine Lumineuse (Fonte Luminosa, Almada). La vidéo-mapping raconte la magie de noël à Lisbonne, mettant en valeur ses charmes et ses beautés.

Le spectacle Lisbonland-Onde o Natal acontece  peut être vu jusqu’au 23 décembre . trois sessions par jour, á 19h, 20h et 21 h. Rien n’est prévu pour l’entrée en 2018.

Wonderland, la fête foraine de Noel est á nouveau installée au Parc Edouard VII.

Les illuminations, elles, ont gagné des rues ou des quartiers qui jusque là n’en avaient pas ou moins  Rue de la Miséricorde (Chiado) ou les rues de Belém. D’autres rues en travaux ont renoué avec les LED, les lampes basse énergie.(Av de la République, Avenue Fontes Pereira de Melo). Et bien sûr, sur Terreiro do Paço, l’énorme sapin habituel. Il y restera jusqu’à la mi janvier 2018.

C’est d’ailleurs sur la grande place du centre de la capitale que se déroulera la fin de l’année. Trois jours de concerts, du 29 au 31 pour una passagem, le passage pour la nouvelle année 2018 s’y déroulera.

-le 29 décembre : concert de la fadiste Ana Moura, à partir de 22 h

-le 30 décembre les artistes cap-verdien et angolais, Lura et Bonga vont chauffer l’ambiance, également à partir de 22h.

-le 31 décembre, pour le réveillon, à partir de 22h trois concerts vont se succéder. D’abord le son soul et funk de Marta Ren & The Groovelvets. Suivis á 23h par le groupe Capitão Fausto. Aprésl’intervalle du spectacle pyrotechnique un feu d’artifice accompagné par une musique originale des Beatbombers, un ultime concert qui réunira de nombreux artistes portugais pour célébrer la pop et le rock national et international. De quoi souhaitez une belle année 2018 à tous ses proches et au monde.

Et n’oubliez pas les passas, les 12 grains de raisins secs, un pour chacun des douze coups de minuit. C’est la traditon portugaise.

Joyeux Noel, Joyeuses Fêtes.

plus de détails sur le site http://www.egeac.com

[masterslider id= »68″]

lisbonne street art Bordalo II

Gâchis. C’est ce que veut dire le mot latin Atterro. Et c’est réunies sous ce mot de gâchis que l’on peut voir les dernières sculptures de Bordalo II (Artur Bordalo)

L’artiste de rue a installé son gâchis dans un entrepôt  désaffecté, rue de Xabregas, édifice  suffisamment déglingué pour rappeler l’univers des murs extérieurs où d’habitude le street arteur accroche des célèbres animaux de récupération.

La poubelle c’est ce qui inspire le jeune homme. Les matériaux qu’il utilise sont des vieux balais d’éboueurs, des pare-choques cassés, des poubelles de villes éventrées, des bidons cassés et autres déchets.

Bordalo II  utilise les animaux pour exprimer sa révolte contre le gaspillage et la pollution : ils sont les victimes de la nature , et ce sont nous les humains qui provoquons le drame.

Le singe géant qui accueille les visiteurs ne semble être là que pour poser la question : Vous vous croyez intelligent ?

L’exposition reprend quelques fétiches de l’artiste qui a construit des saynètes destinées à critiquer l’action des hommes. Quelques figures humaines, choses rares dans le travail de Bordalo II déjà présent dans 19 pays.

Gâchis/Atterro est complété par des vidéos et un livre qui expliquent la démarche de l’artiste. A ne pas manquer le saisissant Floting plastic, très évocateur.

Courrez voir Atterro . L’expositon est gratuite, et peut être vue à partir de 14 heures tous les jours. Mais Gâchis se termine le 26 novembre, plus que quelques jours pour s’intérésser à l’oeuvre du jeune Bordalo II et à sa critique de la société de gaspillage.

49, rua de xabregas

http://info@mistakermaker.org

[masterslider id= »67″]

une priomenade de 1h30 sur le Tage ábord du Princesa do Tejo

Yellow boat, c’est le bateau aux couleurs de la compagnie Carristur qui à Lisbonne gère entre autre les célèbres tramways.

Avec Pincesa do Tejo, la Princesse du tage, Carristur renforce son offre sur le fleuve, et propose ainsi de découvrir Lisbonne sous un angle différent.

La Princesse de Yellow Boat tient désormais compagnie au São Paulus, pour un parcours d’1h30 environ, de Belém  jusqu’au Terreiro do Paço, aller et retour, avec passage sous le pont 25 avril et traversée vers Trafaria rive sud.

Les Yellow boat sont en système On Hop Off, monter-descendre, qui permet de faire la boucle comme on le souhaite en embarquant et débarquant à Terreiro do Paço, à Trafaria et ou Belém, durant la validité du billet qui est de 24 heures.

Le Princesa do Tejo ets un ferry qui peut embarquer jusqu’à 150 personnes, et peut être utilisé à des fins événementielles.

Les départs  de Terreiro do Paço ont lieu à : 10h00, 11h00, 13h00,14h00,15h00, 17h00 .

Depuis Trafaria, rajouter 40 minutes

Les départs de Belém ont lieu à: 11h00,12h00,14h00,15h00,16h00,18h00

Prix du billet adulte: 20 euros et 10 euros pour les enfants. Carristur offre aussi des billets combinés, bus+tram+ bus sightseeing+bateau à des prix intéressants et à validité variée selon les combinaisons, pour multiplier les expériences et profiter de la capitale.

Tous les resneignements grâce au site yellowbustour, en 5 langues dont le français.

https://www.yellowbustours.com

[masterslider id= »66″]

saison été 2018 à la fashionweek de Lisbonne

Modalisboa, trois jours de mode portugaise pour faire connaitre le travail des créateurs pour la saison prochaine.

Pour la première fois, Modalisboa s’installe au Pavillon Carlos Lopes, dans le Parc EduardoVII, au-dessus de la statue du Marquês de Pombal.

Un très bel édifice tout récemment rénové, et qui se prête bien à ce genre de manifestations qui ont besoin d’espaces et de belles proportions pour pouvoir installer « passerelles » , loges et autres salles d’appui.

Ainsi Modalisboa revient au centre ville après une tentative d’exportation à l’Est de la ville, à Belém, finalement jugé trop excentré pour le public et pour beaucoup de professionnels. Le nouveau lieu suscite la curiosité, on peut s’en douter.

Un bonheur ne vient jamais seul.  Modalisboa, une fois n’est pas coutume,  a donné un nom portugais à l’événement : LUZ. En hommage à la lumière si caractéristique et indéfinissable de Lisbonne.

Trois jours de mode donc, et comme à son accoutumée, la fashionweek de Lisbonne débute chacune des trois journées de l’évènement par les créateurs LAB, laboratoire destiné aux nouveaux talents.

A ne pas manquerdans la catégorie Nouveaux talents,  Sangue novo, sang nouveau, les nouveaux stylistes qui recevront des prix destinés à lancer leur carrière. Le 6 octobre à 18h00.

Avant bien sûr de montrer l’habileté des créateurs confirmés : les silhouettes trapèze de Ricardo preto ; Luis Carvalho qui s’inspire de l’aigle ; les années 80 revues par Carolina Machado ; ou encore les audaces également  80’s de Dino Alves

Modalisboa c’est aussi un esprit, une curiosité, des looks , des styles…une réinvention de la rue, souvent pleine de talent. A voir et pour être vue.

Du 6 au 8 octobre 2017.

http://modalisboa.pt/fashionweeks/modalisboa-luz_52

prorammation récente pour la 18e f~ete du cinéma Français à Lisbonne

L’un des événements de la rentrée, la Fête du cinéma français démarre le 5 octobre.  Lisbonne et 11 autres villes du Portugal vont pouvoir découvrir ce qui se fait de mieux en français, en longs métrages, en courts et en documentaires.

Du frais et du récent, 33 longs métrages en avant première sur un total de 52 films présentés pendant la Fête du cinéma Français.

Le Cinéma São Jorge à Lisbonne estlepremeirà  dérouler le tapis rouge pour 16 artistes invités, dont le parrain de l’événement comme le veut la tradition. Cette année c’est Arnaud Desplechin  qui joue le rôle.

Le réalisateur sera présent pour la projection de son film, « Les enfants d’Ismaël » le 6 octobre au São Jorge.

A ne pas Manquer la rétrospective consacrée à Jean-Pierre Melville et à ses films policiers hors pair. C’est le centenaire de la naissance du génial réalisateur qui a marqué toute une génération de cinéastes et de cinéphiles.

Signalons la présence de Mariana Otero, réalisatrice portugaise vivant et travaillant en France, et dont les films documentaires ne laissent jamais indifférents. La réalisatrice a obtenue le César du meileur documentaire en 2011.

Autre nouveauté, l’association avec la salle O cinema da villa, à Cascais qui fait son entrée dans le cercle des villes partenaires de la Festa do cinema francês.

Sans oublier l’excellent ACID- Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion, une sorte d’Indie intégré à la festa, qui permet de montrer de nouveaux talents, de nouvelles perspectives et le cinéma en révolution permanente.

Ateliers, conférences, séances spéciales, rétrospectives…. A ne pas savoir ou donner de la tête et du cœur.

C’est  à partir du 5 octobre, le cinéma a sa fête, il a l’accent français et souffle ses 18 bougies.

Pour tout savoir sur la programmation, suivez le lien.

http://festadocinemafrances.com/18a/

[masterslider id= »64″]

 

 

 

acés au pont 25 avril á Lisbonne

Pilier 7 … Pilar 7, une expérience à couper le souffle. C’est à 80 mètres au-dessus du sol, que le Pilier du pont 25 avril dévoile sa plateforme en verre. Sous les pieds du visiteur, le vide.

Et à hauteur des yeux, les automobiles qui circulent sur le tablier. Devant soi et en contrebas les voitures qui elles circulent sur l’avenue da India: la sensation de flotter entre deux univers.

Vertigineuse ascension- en toute sécurité–  qui offre une vue inédite sur la Lisbonne orientale. Le regard porte jusqu’à l’embouchure du tage. Et depuis l’autre plateforme, sans transparence sous les pieds cette fois, on peut admirer les toits rouges des quartiers d’Alcântara  et Santo Amaro.

L’ascenseur est externe, et en partie transparent, il permet de voir défiler les étages d’accès à la plateforme.

La montée se fait en étapes. Un premier ascenseur permet d’accéder aux salles latérales ou l’on peut admirer les câbles qui soutiennent l’ouvrage d’art. Le bleu environnant donne la sensation d’être au milieu du Tage. Il faut ensuite sortir et contourner le pilier pour entrer dans  le deuxième ascenseur, celui qui est construit à l’ extérieur du pilier.

A la sortie, au niveau billetterie, une expérience de réalité virtuelle est proposée : elle permet d’accompagner les employés qui prennent soin de la santé du pont et surveille sa structure. Là encore une expérience vertigineuse, et l’accès virtuel à des endroits inaccessibles du pont.

Jusqu’à présent interdite au public, la montée au Pilier 7 garantit de fortes sensations.  Une expérience proche de celle que l’on peut faire au Golden Gate bridge de San Francisco, forte inspiration du pont 25 avril de Lisbonne..

Au sol  au long du parcours qui mène au Pilier 7, des disques de métal qui informent sur la construction du pont et sur le sens de la visite : très belle signalétique.

Les sacs à dos devront rester à la billeterie, et les portiques de contrôle garantissent la sécurité des visiteurs.

Pilier 7, une expérience différente.

Prix d’entrée : 6 euros. La réalité virtuelle demande un supplément de 1,5 euros.

Le pilier 7 est ouvert toute l’année-sauf le 25 décembre. De 10h à 20h de mai à septembre. Jusqu’à 18h  d’octobre à avril.

L’accès au Pilier 7 est à Alcântara, au niveau de l’Hôtel Vila Galé Opéra, juste avant le Centre des Congrès.

[masterslider id= »63″]

 

 

 

 

lisbonne festival de cinéma Regards de la Méditerranée.

Regards méditerranéens, regards différents, regards bien présents. Ceux de réalisatrices, scénaristes, actrices et acteurs, producteurs et  productrices  qui tournent dans les pays du pourtour de la Méditerranée.

Olhares do Mediterrâneo /Regards de la Méditerranée, le Festival de cinéma , du 28 septembre au 1er octobre, va nous faire réfléchir, pleurer et rire en suivant le fil qui nous unit, mare nostrum, la Méditerranée.

Des regards féminins, au féminin, féministes aussi …avec cet objectif de donner à voir différemment, tout en encourageant la présence des femmes dans le cinéma.

Olhares do mediterrâneo est le prolongement, l’extension du festival français « Films Femmes Méditerranée » festival connu et reconnu de Marseille.

Une même philosophie unit les deux festivals, et le fait que se déroule  à Lisbonne,  Olhares , a le mérite de permettre d’englober d’un seul regard tout le bassin méditerranéen. Une position privilégiée du Portugal, le moins méditerranéen de tous les pays du pourtour, et pourtant tout aussi ancré dans cet univers, cette culture, cet art de vivre.

Concentré sur quatre jour, le festival Regards/Olhares est intense. Il propose de découvrir une production peu et mal connue, de rencontrer les protagonistes, et de plonger dans des univers nouveaux. Un festival contre l’indifférence, pour la différence et pour le rapprochement. Un festival grand public et militant à la fois.

Du film d’ouverture, l’excellent Nurse (Turquie) à 21h30 jeudi 28 septembre au film de clôture, Willy 1er, tout aussi excellent de la française Marielle Gautier, 52 films vont « s’asseoir » au Cinéma São Jorge. (175, Avenue  de la Liberté)

Débats, workshops, expositions, concerts, séances  scolaires, et même un spécial mômes…. De quoi longuement s’abreuver à la source de notre mère méditerranéenne. Oui, mère.

Le programme se consulte ici. Et Lisbonne-affinités en profite pour décerner un bon point pour l’accès facile et de lecture aisée du site.

Du 28 septembre au 1er octobre, 4e festival de cinéma Olhares do mediterrâneo /Regards de la Méditerranée.

http://www.olharesdomediterraneo.org/

Festival de cinéma Lisbonne regards de la Méditerranée.

Festival de cinéma Lisbonne regards de la Méditerranée.

Cascais près de Lisbonne

Cascais reçoit une nouvelle édition du festival Lumina. Comme son nom l’indique Lumina met en scène la lumière.

Plus de vingt œuvres recréent l’espace urbain, et proposent des spectacles lumineux et des performances colorées.

Par sa dimension, le nombre des artistes invités pour Lumina et l’étendu  de l’espace réservé à la création lumineuse, Lumina Cascais est sans nul doute le plus important festival de ce genre au Portugal.

40 artistes venus de Slovénie, de Nouvelle-Zélande, Pologne, Royaume-Uni, Allemagne, France et Portugal bien sûr.

Sans oublier la Belgique, avec l’artiste George Cuvillier et son « tunnel de l’amour ». La Belgique à l’honneur puisque ,nouveauté du festival, à Lumina cascais cette année on pourra connaître la gastronomie et la culture de ce pays.

A noter aussi les interventions liées au programme OSD20130 de développement durable. « Personne ne reste derrière » est le thème de ce festival dans le festival.

Comme tous les ans, Lumina est associé à la CP– Chemins de fer du Portugal, ce qui permet d’avoir un billet aller-retour pour 2 euros depuis la gare de Cais do Sodré jusqu’à Cascais.

Lumina c’est à Cascais du 22 au 24 septembre.

Une idée brillante de balade en famille- ou non

Le programme se trouve ici

http://www.lumina.pt